Accords CNUCED
La CNUCED aide pays en développement à participer plus équitablement à l'économie mondiale. Elle soutient également les pays en développement pour utiliser le commerce, l'investissement, la finance et la technologie comme vecteurs d'un développement inclusif et durable.
La CNUCED aide pays en développement à participer plus équitablement à l'économie mondiale. Elle soutient également les pays en développement pour utiliser le commerce, l'investissement, la finance et la technologie comme vecteurs d'un développement inclusif et durable.
Lire MoinsLe CNUCED est au service des citoyens des 195 pays qui composent notre organisation. Son objectif est la prospérité pour tous.
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Lire MoinsLes pays les moins avancés pâtissent des conséquences économiques désastreuses de la pandémie de maladie à coronavirus 2019 (COVID-19).
En raison du ralentissement économique mondial et des mesures restrictives adoptées, ces pays connaissent aujourd’hui leur pire récession depuis trente ans. Le niveau de vie de leurs populations, déjà faible, est en déclin.
Leurs taux de pauvreté, toujours élevés, repartent à la hausse, annulant les timides avancées réalisées avant la pandémie. Les progrès accomplis dans les domaines de la nutrition, de la santé et de l’éducation sont réduits à néant par la crise.
Les pays les moins avancés pâtissent des conséquences économiques désastreuses de la pandémie de maladie à coronavirus 2019 (COVID-19).
En raison du ralentissement économique mondial et des mesures restrictives adoptées, ces pays connaissent aujourd’hui leur pire récession depuis trente ans. Le niveau de vie de leurs populations, déjà Lire la suite Lire Moins
Les flux mondiaux d'investissements directs étrangers ont retrouvé leur niveau pré-pandémique l'année dernière, atteignant 1 600 milliards de dollars. Les transactions transfrontalières et le financement de projets internationaux ont été particulièrement forts, encouragés par des conditions de financement souples et des mesures de relance des infrastructures. Toutefois, la reprise des investissements nouveaux dans l'industrie reste fragile, notamment dans les pays en développement.
Cette croissance fragile de l'investissement productif réel devrait persister en 2022. Les retombées de la guerre en Ukraine, avec la triple crise alimentaire, énergétique et financière, ainsi que la pandémie de COVID-19 en cours, devraient se faire sentir. ainsi que la pandémie de COVID-19 et les perturbations climatiques en cours, ajoutent des tensions, en particulier dans les pays en développement. Les estimations de la croissance mondiale pour l'année sont déjà sont déjà en baisse d'un point de pourcentage.
Il existe un risque important que la dynamique de reprise de l'investissement international s'arrête prématurément, ce qui entrave les efforts visant à stimuler le financement du développement durable. Le Rapport sur l'investissement dans le monde aide les décideurs en suivant les tendances mondiales et régionales de l'investissement ainsi que les investissements nationaux et internationaux.
Le rapport examine l'investissement dans les objectifs de développement durable développement durable et dans l'atténuation et l'adaptation au changement climatique. Il examine également les tendances de la finance durable sur les marchés des capitaux et parmi les investisseurs institutionnels.
Les années à venir verront la mise en œuvre de réformes fondamentales de la fiscalité internationale. Ces réformes devraient avoir des répercussions importantes sur la politique d'investissement, en particulier dans les pays qui ont recours à des incitations fiscaleS et aux zones économiques spéciales. Le rapport de cette année fournit un guide aux décideurs politiques pour naviguer dans les nouvelles règles fiscales complexes et d'adapter leurs stratégies d'investissement.
Les flux mondiaux d'investissements directs étrangers ont retrouvé leur niveau pré-pandémique l'année dernière, atteignant 1 600 milliards de dollars. Les transactions transfrontalières et le financement de projets internationaux ont été particulièrement forts, encouragés par des conditions de financement souples et des mesures de relance des Lire la suite Lire Moins
Le Rapport de cette année, comme ce fut le cas pour le premier Rapport en 1981, paraît au moment où les pays du G7 proclament à nouveau la nécessité de revitaliser la démocratie occidentale et de nouer avec les pays en développement un nouveau partenariat axé sur des investissements dans les infrastructures, en particulier dans le cadre d’une initiative pour une croissance propre et verte. Leur appel à « reconstruire le monde en mieux » a fait naître une lueur d’espoir.
La promesse faite de traiter la santé et l’éducation comme des biens publics mondiaux, l’engagement pris d’assurer le financement adéquat d’une révolution verte, l’injection de liquidités par une nouvelle allocation de droits de tirage spéciaux (DTS) et l’annonce d’un taux d’imposition mondial minimum applicable aux entreprises sont autant de revirements louables par rapport aux pratiques récentes
Le Rapport de cette année, comme ce fut le cas pour le premier Rapport en 1981, paraît au moment où les pays du G7 proclament à nouveau la nécessité de revitaliser la démocratie occidentale et de nouer avec les pays en développement un nouveau partenariat axé sur des investissements dans les infrastructures, en particulier dans le cadre d’une Lire la suite Lire Moins
Cette année marque le cinquantième anniversaire de la création de la catégorie des pays les moins avancés (PMA) par une résolution de l’Assemblée générale des Nations Unies, qui a été adoptée à la suite de travaux de recherche, d’analyse et de sensibilisation menés par la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED).
Cette étape historique est franchie alors que s’organisent les négociations intergouvernementales sur l’élaboration d’un nouveau programme d’action en faveur des PMA pour la décennie 2022-2031, dont la période de mise en œuvre coïncidera largement avec celle de la dernière décennie du Programme de développement durable à l’horizon 2030.
L’objectif de ces négociations est d’amener les PMA et leurs partenaires de développement à réfléchir ensemble à des moyens novateurs de remédier aux grands problèmes de développement qui accablent ces pays et leur économie, qu’il s’agisse de problèmes de longue date, tels que les obstacles à la transformation structurelle et au développement durable, de problèmes plus récents, à commencer par ceux qu’a créés la crise de la COVID-19, ou encore de problèmes à venir auxquels sont associés des risques de plus en plus graves, comme les effets des changements climatiques. Les perspectives des PMA sont sombres.
Englués dans les crises sanitaires, économiques et sociales que la pandémie de COVID-19 a provoquées, ils ont enregistré en 2020 leurs pires résultats de croissance depuis environ trente ans. De manière plus générale, ces crises ont anéanti les progrès accomplis à grande peine dans plusieurs domaines du développement, notamment sur les fronts de la pauvreté, de la faim, de l’éducation et de la santé. La perte de ces acquis aura des conséquences néfastes et persistantes sur le développement des PMA à moyen terme
Cette année marque le cinquantième anniversaire de la création de la catégorie des pays les moins avancés (PMA) par une résolution de l’Assemblée générale des Nations Unies, qui a été adoptée à la suite de travaux de recherche, d’analyse et de sensibilisation menés par la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED Lire la suite Lire Moins
La Zone de libre-échange continentale africaine devrait transformer radicalement les ambitions de développement de l’Afrique. Elle entre en jeu à une période cruciale, marquée par une aggravation de la pauvreté et par les revers socioéconomiques que les pays d’Afrique ont essuyés en raison de la pandémie de maladie à coronavirus, ainsi que des chocs financiers, climatiques et alimentaires qui s’en sont suivis.
Le lancement de la Zone de libre-échange continentale africaine offre donc une occasion unique de promouvoir une croissance inclusive et d’accélérer non seulement le relèvement au sortir de la pandémie, mais aussi la réalisation du Programme de développement durable à l’horizon 2030 et de l’Agenda 2063 de l’Union africaine. Dans le Rapport 2021 sur le développement économique en Afrique, la CNUCED s’emploie à cerner les possibilités ouvertes par la Zone de libre-échange, dont le continent a grandement besoin, et réfléchit aux moyens d’en tirer le meilleur parti.
La Zone de libre-échange continentale africaine devrait transformer radicalement les ambitions de développement de l’Afrique. Elle entre en jeu à une période cruciale, marquée par une aggravation de la pauvreté et par les revers socioéconomiques que les pays d’Afrique ont essuyés en raison de la pandémie de maladie à coronavirus, ainsi que des Lire la suite Lire Moins
Le Rapport sur l’économie numérique 2021 analyse en détail les répercussions des échanges transfrontières de données numériques sur le développement et les politiques. Ces données sont au cœur de toutes les nouvelles technologies numériques, notamment l’analyse de données, l’intelligence artificielle, la chaîne de blocs, l’Internet des objets, l’informatique en nuage et tous les services par Internet. Le sujet est d’une actualité brûlante, car la multiplication de ces flux de données intervient dans la réalisation de la quasi-totalité des objectifs de développement durable, et tous les pays du monde s’efforcent de déterminer comment les aborder au mieux sous l’angle politique.
L’approche retenue aux niveaux national et international affectera le commerce, l’innovation et le progrès économique, mais elle aura également une incidence sur toute une série de questions liées à la répartition des bénéfices du passage au numérique, aux droits de l’homme, à l’application de la loi et à la sécurité nationale. Le présent rapport vise à mieux faire comprendre ces aspects complexes et interdépendants, en proposant une vision nouvelle et globale de ce type particulier de flux économique international. Son analyse s’appuie sur un examen des études consacrées aux flux transfrontières de données sous diverses perspectives, sur une vue d’ensemble des tendances et des inégalités dans l’économie numérique fondée sur les données relevées au plan mondial, et sur une réflexion sur la nature fondamentale des données.
Le rapport aborde par ailleurs les stratégies de gouvernance mises en œuvre aux niveaux national, régional et multilatéral et qui ont un impact sur les échanges de données. Il conclut en préconisant une approche plus équilibrée de la gouvernance mondiale des données, capable de garantir une circulation aussi libre que possible et nécessaire des données par-delà les frontières, tout en assurant une répartition équitable des bénéfices, au sein des pays et entre eux, et en tenant compte des risques pesant sur les droits de l’homme et la sécurité nationale
Le Rapport sur l’économie numérique 2021 analyse en détail les répercussions des échanges transfrontières de données numériques sur le développement et les politiques. Ces données sont au cœur de toutes les nouvelles technologies numériques, notamment l’analyse de données, l’intelligence artificielle, la chaîne de blocs, l’Internet des objets, Lire la suite Lire Moins